Aujourd’hui, une virée au Mexique, précisément
à Los Algodones, sur la frontière sud dans la partie Est de la Californie est
au programme. Nous y pénétrons à pied pour être plongé immédiatement dans un
centre très commercialisé.
C’est à
mon avis la plus grande vente de trottoir au monde. J’exagère peut être un brin
mais pas trop. Oublions dentistes, optométriste, pharmacien que l’on ne compte
plus tellement il y en a, attirant une quantité énorme de client de l’autre
côté de la frontière juste pour le prix qu’il charge.
Sur les trottoirs, l’encombrement est à son comble, bijoux, linges, chapeaux, sculpture, de tout. Arrêtez-vous une seconde, regardez un produit, immédiatement arrive un Mexicain et la négociation débute, son prix baisse. Vous partez, il vous suit, son prix baisse encore. Il est, cela va vous surprendre, d’une amabilité incroyable et hors du contexte commercial nous y faisons de beaux échanges.
La rue, les maisons sont d’un fouillie inimaginable. Y a-t-il une loi qui régit l’ensemble ? Y a-t-il un plan d’urbanisme ? Chaque peuple, chaque pays a ses caractéristiques, ses habitudes à nous de s’y adapter, cela fait partie des plaisirs de voyager.
Sur les trottoirs, l’encombrement est à son comble, bijoux, linges, chapeaux, sculpture, de tout. Arrêtez-vous une seconde, regardez un produit, immédiatement arrive un Mexicain et la négociation débute, son prix baisse. Vous partez, il vous suit, son prix baisse encore. Il est, cela va vous surprendre, d’une amabilité incroyable et hors du contexte commercial nous y faisons de beaux échanges.
La rue, les maisons sont d’un fouillie inimaginable. Y a-t-il une loi qui régit l’ensemble ? Y a-t-il un plan d’urbanisme ? Chaque peuple, chaque pays a ses caractéristiques, ses habitudes à nous de s’y adapter, cela fait partie des plaisirs de voyager.