Incroyable lorsqu’à chaque jour vous roulez cinq à
six cent kilomètres comment deux cents kilomètre peuvent être court. C’est la
distance que nous avons parcourue aujourd’hui pour atteindre Nouvelle-Orléans à
partir de New Iberia.
Au Etats-Unis vous avez ce qu’ils appellent des
routes internationales que l’on utilise la plus part de temps. Sorti de ce
réseau, vous avez les Highways, dont la qualité laisse souvent à désirer. De
plus, il y a d’autres sections qui s’y joignent, il y a des lumières d’arrêt et
elles traversent les villes.
Aujourd’hui nous étions sur l’une de celle-ci. Le
paysage est celui de la Louisiane avec ses nombreux ponts qui traversent les
rivières et les bayous. Les rivières d’une certaine importance sont
surutilisées et sont décorées d’usines, de bateaux et de cheminées.
À chaque jour que nous utilisons le motorisé, il
faut lui fournir l’essence nécessaire à son déplacement, chaque jour Hélène se
fait un devoir de faire briller son pare-brise sur laquelle des centaines de
mouches s’écrasent.
Nous longeons le Mississipi dans une petite rue de
la Nouvelle-Orléans, un arrêt, on tourne à gauche, un îlot de verdure avec des
grands arbres feuillus créant une zone d’ombre sous laquelle nous stationnons
de VR. C’est le camping. Demain, nous utiliserons la petite bus pour visiter la
ville. 