Est-ce le sport national de la Californie?
La question mérite d’être posée, chose certaine sur la côte, nous rencontrons
partout des centaines de gens de toute âge qui surveillent et dansent sur les
déferlantes qui s’abattent sur les plages.
Surfers en attente |
Dans la rue, nous en apercevons qui, à
pied, la planche sous le bras se dirigent vers la plage, d’autres sur leur
bicycle, d’autres sur le toit de leurs autos, dans leur coffre et bien d’autres
trucs, quelque fois très hétéroclites.
J.P. en attente de la vague |
Une fois sur la plage, c’est le cirage de
la planche, non, non, ce n’est pas pour qu’elle glisse plus, comme je le
pensais, on applique cette cire sur le dessus afin que vos pieds glissent pas
sur la planche lorsque vous êtes debout dessus.
L’habit
est nécessaire, la température de l’eau étant fraîche, puis couché sur la
planche, le surfer se rend au large, à la ligne de haut fond où la vague se
forme. Assis sur leur planche, ils attendent patiemment la bonne vague. La
vague choisie, le surfer lui tourne le dos et rame vigoureusement avec ses
bras, se lève, tombent, puis retournent au large, se reprennent, retombent,
réussissent, hourrah!
Un essaie |
Une heure au large pour quelques secondes
d’ivresse, à entendre le bruit de la déferlante, à surfer dessus. Grand moment
de bonheur, lorsqu’ils reviennent sur la plage, ils sont fatigués, heureux, ils
se racontent celles qu’ils ont manquées, celles qu’ils ont réussies.
Voir diaporama: California Surf
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J.P. en fin de session |