07 Juillet 2011
La montée commence par 12 km d’une route étroite en bitume. Sur la route, de temps en temps, il nous apparaît avec sa calotte blanche. La montée se fait lentement, il faut être prudent. Quelques arrêts sont prévu afin d’admirer le paysage, soudainement il est là devant nous, dans toute sa splendeur. Le Mont Edith Calvell avec ses 3367 mètre d’altitude s’impose.
On débarque de l’auto, première chose que l’on fait, on lève la tête, tout en haut un nuage lui cache la tête. L’air chaud en bas, est maintenant plus frais. Nous attachons nos bottes de marche et attaquons lentement le sentier qui lui aussi prend de l’altitude. On arrête, on admire, un son très fort fait écho, on lève la tête, de la neige s’est détaché du sommet et tombe avec fracas sur les roches.
Dans les années 50, un glacier couvrait ce sentier, depuis le temps, la nature se réveille. De petits plans poussent sur le sol, de petites fleurs s’ouvrent. Plus on monte, plus elles se font rare, puis lentement elles disparaissent pour faire place à un énorme glacier précédé d’un lac à l’eau turquoise, transparente et très froide. Un mot, impressionnant.
Voir diaporama : MONT EDITH CAVELL